J’éprouve depuis toujours une certaine fascination pour le grand cycle de la vie.

Plus particulièrement pour tout ce qui se détruit, se désagrège, se déforme, s’érode et pour le lent processus de détérioration en général, que ce soit sur le vivant ou l’inerte. Car dans la nature cette destruction est toujours suivie d’un renouveau…

Je voulais imiter la destruction progressive de la matière face aux éléments, au temps ou à la force brute. Je voulais montrer la beauté éphémère de ces phénomènes.

Les pièces sont fabriquées de manière instinctive, brute avec de forts contrastes de textures et d’aspects.

L’idée du titre vient bien entendu de l’album « Disintegration » du groupe The Cure dont je suis fan depuis des années 

Cette collection est fabriquée en argent 925 et incrustée de cubic zirconium.